Ce n'est plus un secret et les rumeurs se sont finalement concrétisées. Le Bijou émet de nouvelles obligations alors qu'il collecte des fonds pour investir dans d'mportantes opportunités offertes par la crise du coronavirus et la philosophie de "vie sans contact" développée par Le Bijou.
Mais cette fois-ci, les investisseurs institutionnels ne sont pas les seuls à être éligibles, car les particuliers peuvent aussi désormais demander à participer à la croissance exponentielle de l'entreprise.
L'obligation est soutenue par de multiples flux de revenus provenant de plus de 42 unités hôtelières dans les cinq plus grandes villes suisses. Elle affiche également des taux de rendement enviables (3 à 6 %) et, contrairement à la plupart des obligations, celle-ci est rémunérée chaque mois.
Un hôtel qui a profité de la crise
Les médias du monde entier ont récemment fait l'éloge des hôtels Le Bijou, grâce à une approche commerciale novatrice et solidaire durant la crise du Covid-19. Lorsque la crise a frappé, l'entreprise a commencé à convertir ses unités hôtelières en installations de quarantaine haut de gamme avec tests du coronavirus et surveillance médicale 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, tout en offrant des séjours de repos gratuits aux professionnels de santé.
Cette réponse créative à la crise a généré de nouvelles recettes et une publicité sans précédent. Au lieu de fermer ses portes comme la grande majorité de l'industrie, Le Bijou a vu un pic de clientèle, attirée par ses services de "quarantaine de luxe".
Cette réponse créative à la crise a généré de nouvelles recettes et une publicité sans précédent. Au lieu de fermer ses portes comme la grande majorité de l'industrie, Le Bijou a vu un pic de clientèle, attirée par ses services de "quarantaine de luxe".
À ses débuts, les histoires positives liées au coronavirus étaient rares. Les médias du monde entier ont donc sauté sur l'occasion pour remonter le moral de leurs téléspectateurs avec un récit digne de David contre Goliath, dans lequel une chaîne d'hôtels relativement jeune mettait dans l'embarras les magnats complaisants d'antan.
L'histoire entourant Le Bijou et le changement de paradigme qui a remodelé l'industrie hôtelière est littéralement devenue virale, des millions de clients potentiels cliquant sur les titres "quarantaine de luxe" générés par des médias comme Forbes, Bloomberg, le New York Times, USA Today, Swiss NZZ, Tages Anzeiger et Cash.ch, parmi tant d'autres.
En conséquence, Le Bijou est aujourd'hui une marque reconnue par beaucoup plus de personnes qu'il y a quelques mois. Mais Le Bijou n'est pas une nouveauté. Il perturbe le secteur de l'hôtellerie et de la restauration depuis 2013.
Dès le début, il a adopté une philosophie de "vie sans contact" (de l'enregistrement au départ) avec des services de type Uber. Et il a rapidement conquis un segment important du marché suisse en séduisant les HNWI et d'autres clients fortunés qu'Airbnb n'était pas en mesure de satisfaire.
Ces propriétés avant-gardistes, axées sur la protection de la vie privée, regorgent de technologies de pointe, très prisées par des clients exigeants comme le co-fondateur d'Apple, Steve Wozniak, qui a décrit son séjour comme "la meilleure expérience de [sa] vie".
La famille Hubner avec le co-fondateur d'Apple, Steve Wozniak, un des nombreux hôtes célèbres de l'hôtel Le Bijou
Pour quoi Le Bijou lève-t-il les fonds
La crise du coronavirus a changé à jamais l'industrie hôtelière et la philosophie de vie sans contact développée par Le Bijou a déjà prouvé qu'elle changeait la donne.
Ainsi, alors que les hôtels traditionnels qui survivront risquent de passer des années à tenter de rattraper leur retard, Le Bijou est prêt à exercer son avantage de pionnier en s'emparant des meilleures propriétés, en renforçant son infrastructure et en ouvrant de nouvelles plates-formes de services dans toute la Suisse.
Parallèlement, la crise du coronavirus a revigoré le marché immobilier, de nombreuses propriétés de premier ordre devenant disponibles. De nombreux propriétaires, séduits par la stabilité de l'entreprise, ont signé les conditions établies par Le Bijou. Nombre d'entre eux sont prêts à co-investir, enthousiasmés également de voir leurs propriétés modernisées et converties en appartements exclusifs dotés de James, un majordome numérique exclusif soutenu par l'IA.
Le Bijou travaille avec des fonds, des institutions et des investisseurs privés qui sont prêts à participer à la transformation.
Quel sera le type d'obligations ?
Tout investisseur apprécie la stabilité que procure un investissement dans des entreprises qui peuvent se prévaloir d'une solide expérience et d'une position stratégique dans un secteur en pleine croissance. Mais il existe d'autres facteurs distinctifs, dont certains ont été récemment révélés dans une enquête menée auprès des investisseurs du Bijou :
- un revenu mensuel fiable (les obligations sont assorties d'un coupon mensuel)
- Monétisation de la croissance du tourisme suisse
- Une alternative à la pension avec un meilleur rapport qualité-prix
- Accès VIP aux événements communautaires privés
- Événements réservés aux membres du Owners Club
Toni Piech, constructeur suisse de voitures électriques, s'exprime lors d'une réunion d'investisseurs Le Bijou
Les points forts du business model
Le succès de la société Le Bijou repose sur un principe commercial évident, mais souvent négligé, essentiel à la réussite à long terme : vous devez posséder des avantages concurrentiels que vos concurrents ont du mal à imiter, même à long terme.
Voici quelques-uns des avantages concurrentiels fondamentaux qui ont assuré la trajectoire de croissance rapide du Bijou :
- Une marque reconnaissable, une forte adhésion des clients: comme l'a expliqué l'un de nos investisseurs en franchise (cité ci-dessous), Le Bijou a présenté les caractéristiques d'une entreprise qui pourrait se mondialiser et devenir une véritable icône, comme Apple ou Coca Cola, et c'est la formule magique qu'il recherche lorsqu'il investit dans une entreprise.
- Une technologie propriétaire: Le Bijou propose un ensemble de services de "vie sans contact" facile à adapter et à copier. Il a fallu des années à l'entreprise pour affiner ce qui est actuellement une expérience client inimitable. Le majordome numérique "James" de Le Bijou, soutenu par l'IA, est facilement modulable et apprécié des clients, tandis que le modèle de service de type Uber de la société a radicalement réduit les frais généraux.
- Une économie d'échelle: une fois qu'un hub Le Bijou est établi dans une ville, il est assez simple de connecter de nouvelles unités. Il est bien moins coûteux de desservir 100 appartements dans une ville que de desservir 100 villes avec un appartement chacune.
- Une culture de la créativité: Le milliardaire américain et gestionnaire de fonds spéculatifs Ray Dalio a déclaré lors d'une récente interview que seuls deux types d'entreprises pourraient réussir dans le monde post-pandémique : les entreprises "viande et pommes de terre" et les entreprises créatives. En d'autres termes, des entreprises dotées d'un modèle économique simple et peu endetté, et des entreprises créatives qui savent bien s'adapter. Le Bijou est manifestement les deux.
Du point de vue de l'investissement, ils peuvent participer aux bénéfices des opérations immobilières sans posséder le bien immobilier lui-même, et en assumant les risques qui y sont liés. L'immobilier dans les zones centrales des villes suisses rapporte rarement plus de 1 % - 1,5 %, ce qui le rend bon marché à louer et cher à posséder. Le Bijou les loue donc.
"Ce que fait Le Bijou ... peut être considéré comme l'équivalent d'un " pur alpha " dans l'investissement immobilier. Le " pur alpha " mesure le rendement d'un actif par rapport à l'indice de marché. Dans ce cas, l'indice du marché correspond aux rendements des biens immobiliers de premier ordre, qui sont de 1 % à 1,5 % dans les zones centrales des grandes villes suisses, et l'"alpha" est le rendement provenant de l'exploitation de ces biens immobiliers - dans ce cas, l'exploitation d'un hôtel d'appartements. Le Bijou ne mélange pas le bêta et l'alpha. C'est très intéressant, car le bêta (en d'autres termes, les rendements de la propriété immobilière) est très faible en Suisse, bien que l'alpha soit très intéressant. Ainsi, un investisseur ne peut posséder que la partie la plus rentable, l'alpha, et affecter le reste de son capital ailleurs."
Mark Farmer, banquier d'affaires et PDG de Moonshot
Qu'en pensent les investisseurs ?
"Encore une fois, cela se résume à ma philosophie personnelle d'investissement : la connaissance du secteur et des gens est essentielle pour prendre des décisions d'investissement et Le Bijou n'est pas différent.
Je sais très bien, par expérience et par la recherche, que le problème est particulièrement aigu dans les grandes villes comme Zurich et Genève. J'aime Le Bijou parce qu'il s'attaque de front à ce problème et obtient d'excellents résultats. Tous les biens immobiliers du portefeuille sont rentables dès le deuxième mois.
Ils reconnaissent qu'il s'agit d'un marché concurrentiel et que la barrière à l'entrée, bien qu'elle ne soit pas faible, est encore possible pour beaucoup. C'est pourquoi ils investissent massivement dans leurs services, leur technologie et leur expansion.
Mais lorsque j'investis, je regarde plus loin que les feuilles de calcul financières. La vision de Le Bijou ne se limite pas à résoudre les problèmes d'hébergement des voyageurs en tant que tels. Elle est beaucoup plus vaste. Ils ont le potentiel de créer l'une des marques les plus distinctives du monde. Bien que l'entreprise soit relativement petite aujourd'hui, elle a créé une marque dynamique et emblématique avec un noyau de défenseurs (composé d'invités et d'investisseurs) qui aiment absolument la marque et génèrent beaucoup de bouche à oreille et d'affaires locales. Cet élan est formidable s'il peut être maintenu. Je crois fermement que la capacité à créer une marque distinctive, durable et évolutive est un point de basculement qui sépare les bonnes entreprises des grandes. Si vous avez même un bon produit, mais pas de bonne marque, vous serez toujours Huawei, pas Apple".
Severin Renold, PDG de Digialog AG et investisseur de la franchise Le Bijou
"J'ai commencé à investir dans Le Bijou en janvier 2020 lorsque j'ai entendu parler pour la première fois du coronavirus. Je me suis dit : ça va passer comme le SRAS, rien de grave. Ce n'est pas le cas, et j'étais très inquiet, mais je savais qu'ils allaient trouver quelque chose. Et c'est ce qu'ils ont fait. L'abri covid a bien fonctionné pour eux. Ils n'ont jamais manqué un paiement de dividende, même pas en mars ou avril, tout était à temps, et c'était super important pour moi car cela représente une grande partie de mes revenus personnels".
Investisseur privé Le Bijou de Zoug
Questions & réponses
Le Bijou est fier de son ouverture et de sa transparence et invite les parties intéressées à lui téléphoner (+41 44 533 16 10) ou à lui écrire pour lui poser leurs questions. Certaines des plus courantes sont énumérées avec leurs réponses ci-dessous.
1. S'agit-il d'une obligation cotée en bourse ?
Non, l'obligation n'est pas cotée en bourse, mais sa liquidité est assurée par une plateforme d'échange interne avec des centaines d'investisseurs. Le fait qu'elle ne soit pas cotée en bourse signifie que le prix de l'obligation est moins sensible aux fluctuations du marché et aux ventes de panique. Еhe Les primes de risque des sociétés cotées en bourse disparaissent avec l'afflux d'argent bon marché provenant de fonds qui achètent des actifs cotés. Le fait de ne pas être cotée en bourse signifie donc que le rendement des obligations est plus élevé. L'inconvénient de cette approche est que la vente de l'obligation ne peut pas se faire instantanément.
2. Pourquoi Le Bijou ne collecte-t-il pas d'argent auprès des banques ?
Bien que nous obtenions des prêts bancaires pour un nombre limité de projets, la plupart de nos développements sont financés par des investisseurs privés et institutionnels ayant un appétit pour la dette privée. La raison en est que nous gardons notre modèle de capital-léger et louons le bien immobilier au lieu de le louer, afin que les investisseurs puissent obtenir un rendement plus élevé. Ce type de montage n'est pas quelque chose qu'une banque typique peut financer, car elle exige des garanties sous forme de biens immobiliers. Les investisseurs qui recherchent une exposition à l'immobilier peuvent équilibrer leur portefeuille en achetant des obligations supplémentaires qui rapportent un revenu inférieur mais qui sont garanties par des biens immobiliers.
3. Vais-je perdre de l'argent si la valeur des biens immobiliers baisse ?
Cette obligation particulière est susceptible de bénéficier de la baisse des prix de l'immobilier. Cette émission particulière d'obligations n'implique pas la propriété du bien immobilier, les sociétés du Bijou signent plutôt des baux immobiliers à long terme, jusqu'à 30 ans, avec droit de prolongation du bail. Cela permet aux investisseurs d'éviter le risque de krach immobilier et de profiter des avantages d'un prix de location bon marché par rapport au prix du bien immobilier (le secteur de la location rapporte souvent moins de 1,5 % pour le propriétaire d'un bien immobilier situé dans le centre ; il n'est donc pas logique, d'un point de vue financier, que Le Bijou et ses investisseurs soient propriétaires du bien immobilier, et il est tout à fait logique de le louer).
